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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 16:04

Que du bio... 

 

Mode d’emploi :


Enveloppements fromage blanc et gros sel :

Ingrédients :

fromage blanc 40 % de matière grasse : 1 mesure

sel : une mesure

Enveloppez la partie à traiter avec un mélange de part égale de fromage blanc 40 % et de gros sel.

Enveloppez d’un film alimentaire.

Couvrez- vous. Et patientez 25 minutes.

Pour mesurer l’efficacité : il est recommandé d’utiliser le mètre de couturière avant et après l’application.

 

 

 Huile circulatoire anti-cellullite :

Dans 100 ml d’huile (pépins de raisin, sésame, olive...), vous ajoutez 12 gouttes de chacune des huiles essentielles suivantes :

- cyprès toujours vert (vasoconstricteur puissant, décongestionnant veineux et lymphatique

- geranium rosat (lymphotonique et phlebotonique)

- citron (contre l’insuffisance veineuse) ou lemon-grass (anti-cellulite et anti-inflammatoire)

- romarin à camphre (tonique veineux)

L’utiliser quotidiennement en réalisant un massage de type palper-rouler.

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 13:16

 

      ...LE CHRISTIANISME, UN SEUL DIEU PARMI LES HOMMES...


golgotha.jpg

 

Dans le saint sépulcre, le tombeau du Christ, à Jérusalem, trône près du Golgotha, le lieu du crâne. C’est là que Jésus aurait été crucifié. En partant de ce lieu, on peut remonter sa trace et en savoir plus sur le christianisme.

 

En Terre Sainte, sur les pas de Jésus de Nazareth, c’est ici dans cette ville de Jérusalem qu’il a vécu ses derniers jours. L’histoire de JC portant sa croix avant d’être mis à mort, crucifié par les romains, tout le monde la connaît. La suite est plus troublante. Elle raconte que Jésus, après sa mort ressuscite, puis qu’il monte au ciel depuis cette colline qui s’appelle le mont des oliviers : C’est l’Ascension. Tout ça est en tous cas écrit dans la bible. C’est le message qui a été divulgué par les premiers disciples de JC, donnant ainsi naissance à une nouvelle religion : le Christianisme. Aujourd’hui, avec environ 2 milliards de fidèles, le Christianisme est la première religion dans le monde. A Jérusalem, on croise des chrétiens de toutes les confessions : des catholiques, des protestants, des orthodoxes. Ils viennent des 4 coins du globe, surtout d’Asie, d’Afrique et d’Amérique du sud. Ce sont sur ces continents que les chrétiens sont désormais les plus nombreux, tandis qu’en France, les églises ont plutôt tendance à être désertées.

jerusalem-nazareth.jpg


Jésus étant né à Bethléem de Judée du temps du roi Erode, voici que des Mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem en disant : « Où est le roi des juifs qui vient de naître ? » extrait de l’évangile selon Mathieu. Est-on sûr que Jésus ait vraiment existé ? Pour les historiens, pas de doutes possibles, il a bien existé. Des textes romains font en effet référence à un personnage dont certains faits et gestes correspondent à ce qui a été raconté plus tard dans la bible sur Jésus. Pourquoi les romains en sauraient-ils davantage que les autres? Parce qu’à l’époque de Jésus, l’empire romain s’étend sur tout le bassin méditerranéen jusqu’en Judée, Samarie, Galilée où vit le peuple juif. Le peuple qui s’est distingué des autres en étant le premier à ne croire qu’en un seul Dieu alors que les autres vénèrent plusieurs divinités, les romains en tête, qui croient en Jupiter, Neptune, Minerve… Jésus appartient à ce peuple juif, il serait né à Bethléem, à côté de Jérusalem, en Judée (à gauche de la mer morte), sous le règne du roi Erode, un roi allié des romains qui a régné entre l’an 37 et l’an 4 avant JC. L’an 1 de notre calendrier est sensé correspondre à l’année de naissance de JC. Cette date a été fixée par un moine au 4ème siècle de notre ère au 25 décembre. Or, on sait depuis que ce moine a commis une erreur de calcul. En fait, JC serait né un peu plus tôt, à la fin du règne d’Erode, entre l’an 7 et l’an 4 avant le début de ce que l’on appelle officiellement, l’ère chrétienne. De la même manière, rien de prouve que JC soit né un 25 décembre, cette date a également été fixée à posteriori. Elle correspond à un moment de l’année où se déroulaient d’anciennes fêtes païennes qui célébraient le solstice d’hiver. Les chrétiens ont récupéré cette fête qui symbolise le renouveau. Voilà pour la naissance.

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Ensuite, Jésus aurait vraisemblablement grandi à Nazareth, en Galilée, d’où il serait parti pour prêcher, quand il avait environ 30 ans. Son message a connu beaucoup de succès mais il lui a aussi causé de gros ennuis. En effet, Jésus a été arrêté puis condamné à mort par les romains et des prêtres juifs et crucifié à Jérusalem. Ce sont des faits historiques. Après, les rois mages, la résurrection… sont du domaine de la foi. Pour les chrétiens, l’histoire de Jésus débute à Nazareth par un épisode qui n’a rien d’historique, c’est l’Annonciation : un ange, l’ange Gabriel vient annoncer à Marie qu’elle est enceinte et donc qu’elle va avoir un enfant tout en restant vierge, un enfant conçu par le Saint Esprit, Jésus, le fils de Dieu. Joseph, l’époux de Marie va accepter cet enfant et en devenir le père nourricier.

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Bethléem est aujourd’hui une ville palestinienne où beaucoup de chrétiens viennent en pèlerinage surtout le jour de NOEL pour célébrer la naissance de Jésus. La basilique de la nativité est construite à l’endroit même où Jésus serait né. L’une des plus vieilles églises au monde. Selon la bible, Joseph et Marie, les parents de Jésus habitaient à Nazareth en Galilée et ils sont venus ici pour un recensement de la population ordonné par le roi Erode. Joseph est originaire de Bethléem, c’est donc ici que Jésus serait né et la grotte de la nativité se trouve juste sous la basilique. Christ vient du grec « Christos » qui signifie le messie. Au moment où Jésus commence à faire parler de lui, le peuple juif attend impatiemment un messie, la promesse figure dans leurs textes sacrés. Dans ces textes, on trouve des épisodes très connus comme la création du monde en 6 jours (la genèse), Adam et Eve, l’Arche de Noé… Ces textes racontent également l’histoire du peuple hébreu avec Abraham, Moïse, le célèbre combat entre David et Goliath. On y trouve aussi des prophéties, des textes qui évoquent la venue d’un messie, un descendant du roi David, pour libérer le peuple juif. Au moment où Jésus commence à prêcher, les romains ont considérablement accentué leur pression sur le peuple juif. Ce peuple a de plus en plus de mal à supporter leur présence et ils commencent à songer très fort à celui qui est annoncé par les prophéties, pour le libérer. Dans ce contexte politique, les prêches de Jésus vont trouver facilement des oreilles attentives et certains juifs ne vont pas tarder à le considérer comme le messie annoncé par les textes. Comme lui, ses premiers disciples sont juifs. Aucun d’eux ne remet en cause les textes hébreux, c’est la raison pour laquelle la bible hébraïque va constituer la première partie de la bible chrétienne sous le nom d’ancien testament auquel les premiers chrétiens vont ajouter le nouveau testament, ce texte va être écrit durant la deuxième moitié du premier siècle en grec, la langue internationale de l’époque. A l’intérieur, on trouve des textes attribués à Mathieu, Marc, Luc et Jean, les apôtres, qui racontent la vie du Christ. On trouve aussi des textes qui évoquent la vie des premiers chrétiens : ce sont les actes des apôtres, des discours religieux : les épitres et l’apocalypse. Ce mot a 2 racines grecques : apo « retirer » et calypso « voile » autrement dit, le voile est levé, c’est ce qu’on appelle la révélation lors du retour de JC sur Terre et le jugement dernier. C’est à partir de ces 2 ensembles que va se construire la doctrine chrétienne.

 

Les premiers disciples de Jésus sont tous juifs mais tous ne sont pas sur la même longueur d’ondes. Tiraillés entre leurs racines juives et la culture grecque qui imprègne alors tout le bassin méditerranéen. Par exemple, Jacques a fondé une église à Jérusalem Judéo-chrétienne parce que c’était des juifs disciples de Jésus mais qui se voulaient juifs. Au contraire, à partir de l’an 50 environ, un certain Paul, qui venait de Tarse dans l’actuelle Turquie, qui était citoyen romain, de langue grecque mais de religion juive aussi a plutôt mis l’accent sur l’universalité du christianisme sur le fait qu’on pouvait être chrétien, romain, grecque et donc ces chrétiens là se sont séparés du judaïsme et progressivement, la branche juive et la branche non juive se sont écartées. Les romains vont percevoir ces premiers chrétiens comme une secte juive dissidente. Considérés comme des agitateurs politiques, ils sont alors persécutés mais c’est l’effet inverse qui va se produire. Ces martyres vont amplifier la renommée de cette nouvelle religion. Parallèlement, les écrits chrétiens commencent à circuler et à se multiplier. Ce n’est qu’au 4ème siècle qu’un choix sera fait, celui de ne considérer que les textes retenant l’esprit sain et donnant ainsi naissance au nouveau testament tel qu’il existe encore aujourd’hui.

 

Il advint que ce jour là, Jésus de Nazareth en Galilée fut baptisé dans le jourdain par Jean. Les évangiles ne renseignent pas beaucoup sur la jeunesse et l’adolescence de JC. C’est seulement vers l’âge de 30 ans que commence vraiment sa vie publique et le premier acte officiel, c’est son baptême dans le jourdain, un baptême administré par Jean le Baptiste (prédicateur juif). Pour les chrétiens, le baptême est le premier sacrement, on ne naît pas chrétien, on le devient par le baptême. C’est une sorte de renaissance, une purification qui permet de se laver de ses pêchers. Au premier temps du christianisme, le baptême se faisait le plus souvent en fin de vie, histoire d’effacer les pêchers et d’être sûr d’aller au paradis. Et c’est lors de l’épisode du baptême que la véritable identité de JC est révélée à tous comme le fils du seigneur, le fils de Dieu. Mais Jésus est-il Dieu ou est-il humain ?

bapteme-jesus.jpeg

 

Il faut attendre la fin du 4ème siècle de notre ère, pour que cette question soit définitivement tranchée. Là encore, le contexte géo-politique a son importance. A cette époque, la religion chrétienne a déjà gagné tout le pourtour méditerranéen, elle est pratiquée dans tout l’empire romain au sein de communautés dirigées par des évêques qui justement s’affrontent sur cette question. Les débats sont si vifs que l’empereur constantin craint pour la stabilité de son empire. Pour calmer le jeu, il décide de mettre tout le monde autour de la table. Au cours de quelques réunions qu’on appelle les conciles (comme le concile de Nicée), les chrétiens vont décider que Jésus est l’incarnation de Dieu en être humain, autrement dit il est à la fois de nature humaine et de nature divine. Il y a à la fois, Dieu le père, Dieu le fils et le Saint esprit (souvent représenté par une colombe) qui est une notion compliquée, c’est l’esprit de Dieu qui permet aux hommes de se comporter en bons chrétiens. Lors de ces conciles, les chrétiens décident que Dieu est unique mais qu’il peut se présenter sous 3 formes : le père, le fils et le saint esprit. Il s’agit du mystère de la trinité (1+1+1 = 1).

trinite.jpeg

 


trinite-vie-copie-1.jpeg

 

La galilée est aussi un haut lieu biblique, c’est aussi la mer de Galilée qu’on appelle le lac de tibériade. C’est ici que JC aurait accompli bon nombre de ses miracles (multiplication des pains, marche sur l’eau, pêche miraculeuse…). C’est là qu’il choisit ses premiers disciples, ceux qu’on appelle les apôtres parmi des pêcheurs qui vivent à Capharnaum. On a retrouvé les vestiges de Capharnaum. A l’époque, c’était une peite ville occupée par des légionnaires romains mais où vivaient surtout des familles juives qui avaient ici leur lieu de culte, leur synagogue. C’est ici que JC commence se faire connaître notamment grâce à ses dons de guérisseur mais aussi grâce au message de paix qu’il divulgue pour protéger les pauvres, les malades, bref tous les exclus. Mais au cours de l’histoire, se message va souvent être oublié ou déformé par les chrétiens eux mêmes. JC était probablement non violent car il a dit si on vous frappe sur la joue droite, tendez la joue gauche. Les églises ont été infidèles en ce qu’elles ont tronqué ce message parfois avec violence, on pense aux guerres de religion, aux croisades au cours desquelles on verra même des moines soldats tués au nom de Dieu. Au Moyen Age, lors de l’inquisition, ceux qui contestent le dogme de l’église, les hérétiques, mais aussi des scientifiques, sont condamnée à mort et brûlés vifs. C’est également le cas de nombreuses femmes considérées comme des sorcières. L’église devient alors un instrument de pouvoir qui plonge le monde entier dans l’obscurantisme. Certains de ses représentants vont même largement s’enrichir, on est alors très loin du message de JC.

Dans l’histoire, JC vient d’être arrêté par les romains à Jérusalem, il a été trahi par un apôtre, Juda, l’un des 12 apôtres. Selon la Bible, Juda a trahi JC pour 30 pièces d’argent. Il le désigne aux romains en l’embrassant, c’est le baiser de Juda.

baiser-de-juda.jpg

 

JC sera ensuite condamné à la fois par des prêtres juifs et par le préfet romain, Ponce Pilate. Car JC remet en cause le pouvoir de ces prêtres et l’agitation créée autour de lui n’est pas vraiment du goût des romains. Juste avant d’être arrêté, JC avait pris un dernier repas avec ses 12 apôtres, c’est l’épisode de la cène, immortalisée par Léonard de Vinci. Pour tous les chrétiens, cet épisode institue le sacrement de l’eucharistie, le sacrifice du corps et du sang de JC, symbolisé par le pain, et par le vin. C’est dans la « voie douloureuse » de Jérusalem, que JC aurait porté sa croix et subit de douloureuses souffrances avant d’être crucifié.

Pour les chrétiens, JC est l’incarnation de Dieu, alors comment se fait-il qu’il subisse autant de souffrance ? Il est sur Terre pour accomplir la mission que lui a confié Dieu le père et donc pour l’accomplir, il accepte la souffrance, pour sauver l’homme du pêcher, pour redonner la confiance en la vie, la force de vivre, depuis le pêcher originel. Mais JC ressuscite au 3ème jour. C’est la victoire de la vie sur la mort, en tant que passage, et c’est cette résurrection qui forme notre foi. Il y a une vie après la mort et c’est l vie éternelle.

 

La basilique du Saint sepulcre est le premier lieu saint du christianisme, élevée à l’endroit même où le christ a été crucifié sur le rocher du Golgotha. Elle a pris la pierre de l’onction, la table sur laquelle JC aurait été embaumé avant d’être mis au tombeau. C’est là qu’il aurait été déposé avant qu’il ne ressuscite et avant que des femmes de Jérusalem trouvent le tombeau vide. D’après la bible, la crucifixion et la résurrection se seraient déroulées pendant la fête juive de pessat, Pâques, c’est une fête très importante dans la religion juive qui revient chaque année en fonction des cycles de la lune. Les chrétiens ont récupéré ce nom et ce cycle pour commémorer la mort et la résurrection du christ et c’est la raison pour laquelle les fêtes de Pâques ne se déroulent jamais à date fixe. La crucifixion (la passion) est toujours célébrée un vendredi sain. La résurrection est toujours célébrée le dimanche suivant, le dimanche de Pâques, le jour le plus important dans la religion chrétienne. 40 jours plus tard, c’est l’ascension, toujours un jeudi et elle correspond à la montée du christ au ciel et la pentecôte, à la venue de l’esprit sain sur les apôtres à partir de là, ils ont commencé à prêcher.

paques.jpg

 

Après la mort de JC, commence l’histoire de l’Eglise chrétienne et elle ne va pas être simple car au fil du temps, elle va voir apparaître 3 grands courants : les catholiques, les orthodoxes et les protestants. C’est au 11ème siècle que se divise l’église chrétienne entre les catholiques et les orthodoxes. Ce schisme repose plus sur des divergences politiques et culturelles entre les chrétiens d’occidents (catholiques) et les chrétiens d’orient (orthodoxes). Il y a eu aussi des désaccords sur le rôle du pape que les orthodoxes ne reconnaissent pas ou sur l’organisation de l’église, plus des histoires d’hommes et de pouvoir que de véritables divergences de pensée religieuse. Au 16ème siècle au sein du catholicisme, une seconde scission apparaît. Martin Luter, un moine Allemand dénonce les dérives de l’église notamment le pardon des pêchers donné en échange d’argent. Il pose alors les bases du protestantisme qui va se répandre en Europe du Nord et aussi en France provoquant de guerres de religion (lors de la nuit de saint barthélémy, plusieurs milliers de protestants sont massacrés à Paris). Il s refusent l’autorité du pape et des prêtres. Il ne doit pas y avoir d’intermédiaire entre dieu et les croyants. Le pasteur est seulement un guide, un croyant comme les autres qui peut d’ailleurs se marier. Chez les catholiques, il n’y a qu’un chef, le pape qui siège au Vatican, son influence est très importante et même très critiquée. Jésus est aussi un prophète de l’Islam, c’est écrit dans le coran…


 

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 21:37

Appel du Comité Central de la Garde Nationale, à Hôtel de Ville de Paris Le 25 mars 1871 

 

Citoyens,

Ne perdez pas de vue que les hommes qui vous serviront le mieux sont ceux que vous choisirez parmi vous, vivant votre vie, souffrant des mêmes maux.

 

Défiez-vous autant des ambitieux que des parvenus; les uns comme les autres ne consultent que leur propre intérêt et finissent toujours par se considérer comme indispensables.

 

Défiez-vous également des parleurs incapables de passer à l'action; ils sacrifieront tout à un beau discours, à un effet oratoire ou à un mot spirituel.

 

Évitez également ceux que la fortune a trop favorisés, car trop rarement la fortune est disposée à regarder le travailleur comme un frère.

 

Enfin, cherchez des hommes aux convictions sincères, des hommes du peuple résolus, actifs, ayant un sens droit et une honnêteté reconnue.

 

Portez vos préférences sur ceux qui ne brigueront pas vos suffrages: le véritable mérite est modeste, et c'est aux électeurs à choisir leurs hommes, et non à ceux-ci de se présenter.

 

Citoyens,

Nous sommes convaincus que si vous tenez compte de ces observations vous aurez enfin inauguré la véritable représentation populaire, vous aurez trouvé des mandataires qui ne se considéreront jamais comme vos maîtres.

 

 

 

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 17:27

 

...LE JUDAÏSME, UN PEUPLE, UNE RELIGION...

 

 

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Bienvenue en Israël, l’état hébreux, un pays où vivent aujourd’hui une grande partie des juifs dans le monde. Etre juif, c’est avoir une longue histoire derrière soi, une histoire, qui a donné naissance à une religion, le judaïsme, mais aussi à un peuple.

mont-nebo.jpg

Au sommet du mont Nebo, c’est ici que Moïse, accompagné du peuple juif a découvert la terre promise, de l’autre côté de la mer morte, il y a un peu plus de 3000 ans. Mais Moïse ne connaîtra jamais complétement la terre promise car il mourra ici même, d’après la bible hébraïque, l’un des textes fondateurs du judaïsme, la première grande religion monothéiste de l’histoire, avant le christianisme et l’islam, avec un seul Dieu (YHWH/ Elohim). Ce livre est un mélange de faits historiques et de récits légendaires.

abraham.jpg 

Cette histoire commence bien avant Moïse avec un certain Abraham, qui aurait pu vivre à Ur en Mésopotamie (actuelle Irak) environ 2000 ans avant notre ère. A l’époque, la population vénère plusieurs Dieu, de la pluie, du soleil, de la fertilité… Abraham se distingue des autres. D’après la bible, il est le seul homme à ne croire qu’en un seul Dieu. En échange de cette fidélité, ce Dieu unique va lui promettre une terre, le pays de Canaan, où lui et sa descendance vont pouvoir s’installer. De ce fait, Isaac (Israël) et Jacob, ses fils vont grandir sur cette terre. En revanche, les fils d’Israël (il y en a 12), dont le dernier est Benjamin, ne vont pas y rester. Suite à une famine, ils vont se réfugier en Egypte, le pays des pharaons. Leurs descendants qui vont former le peuple hébreu vont être réduits en esclavage, une situation qui va se prolonger durant plusieurs siècles jusqu’à l’entrée en scène de Moïse, qui va libérer le peuple hébreux de l’esclavage vers 1400 ans avant notre ère. 600 000 hébreux avec les femmes et les enfants, fuient alors l’Egypte avec l’armée égyptienne aux trousses.

exode.jpg

Au moment où le peuple d’Israël traverse le désert, la mer rouge s’ouvre devant lui pour le laisser passer se refermant ainsi sur les armées d’Egypte, d’après le livre de l’exode. Au cours de ce périple, Moïse va recevoir les tables de la loi, 2 stèles, qui selon la Bible ont été gravées du doigt de Dieu lui-même, épisode déroulé sur le mon Sinaï (au nord de la mer rouge). Ces stèles rassemblent les 10 commandements qui constituent les bases de la loi juive ou la torah. Puis, le peuple hébreu va errer pendant 40 ans dans le désert, transportant les tables de la loi dans l’arche de l’alliance. C’est Josué, l’un des lieutenants de Moïse qui va conquérir la terre promise, la contemplant depuis le Mont Nebo. Une conquête armée de trompettes (de jerico) dont le seul souffle aurait suffi à anéantir la cité. Le pays de Canaan va être réparti entre 11 des 12 tribus d’Israël, les 12 tribus prenant références sur les 12 fils de Jacob. Celle de Juda va hériter d’un territoire auquel elle va donner son nom, la judée d’où le judaïsme et juif. Et la 12ème est la tribu des lévi, dédiée au service du temple qui va être construit à Jérusalem, le temple de Salomon où d’après la Bible, a été placée l’arche d’alliance. De la sortie d’Egypte à la traversée du désert, c’est à partir de ce récit biblique que va se fonder le judaïsme avec ses grandes fêtes et ses rites. C’est aussi à partir de ce récit que l’on retrouve une notion qui est à l’origine de l’identité juive, la notion de peuple Elu : Dieu choisit le peuple juif pour une sorte de mission divine. La notion d’élection est liée à la notion d’alliance, où Dieu fait alliance avec Abraham et ses descendants avec comme but ultime de transmettre la révélation du Dieu unique à toute l’humanité. C’est une collectivité qui a plus d’obligations que les autres, plus de contraintes et plus de responsabilités vis à vis des autres. Il doit être un exemple pour les autres peuples. C’est ainsi que les juifs ont toujours cherché à ne pas se mélanger aux autres afin de préserver leur identité. Sur un plan religieux « est juif celui dont la mère est juive », cette définition est incontournable.

Les grottes de « Qumran », là où on a retrouvé les manuscrits de la mer morte. La grande question a toujours été de savoir qui avait écrit les récits de la Bible. Pour les juifs les plus religieux, il n’y a pas de doute, ils sont d’origine divine, ils ont été dictés par Dieu à des prophètes et notamment à Moïse. Pour les historiens, ces textes auraient été écrits tout au long du 1er millénaire avant JC par une multitude d’auteurs anonymes. Ensuite, ils ont été recopiés de générations en générations et certains d’entre eux ont été retrouvés en 1947, au bord de la mer Morte. Les plus anciens remontent au 3ème siècle avant notre ère et nous permettent de mieux comprendre comment s’est structuré le judaïsme.

      Qu’est-ce qui dans la bible relève de l’histoire ou de la légende ? Depuis le milieu du XXème siècle, les archéologues ont mis la main sur quelques pièces qui permettent un peu de faire le tri. Ils ont notamment découvert une stèle égyptienne qui met en lumière l’incohérence. Elle date de 1216 ans avant notre ère et elle atteste de la présence d’un peuple appelé Israël au pays de Canaan à cette époque par conséquent la fuite d’Egypte a obligatoirement eu lieu auparavant, 1400 ans avant notre ère d’après la Bible. Mais les Egyptiens qui avaient l’habitude de tout noter ne mentionnent nulle part la fuite du peuple hébreu. Donc, nombre d’historien pense que ce peuple ne viendrait pas d’Egypte et n’aurait pas conquis le pays de Canaan. Pour eux, il s’agirait d’un peuple de nomades qui se serait petit à petit sédentarisé pour cultiver, comme en témoignent les nombreux villages, vestiges des terres de Judée, qui ont tous une forme ovale, un dessin qui évoque la disposition des temples de nomades pour protéger les animaux. Et puis parmi les ossements d’animaux mis au jour, il n’y a pas d’ossements de porc, les habitants de ce village n’en consommaient donc pas, or la religion juive interdit la consommation de cet aliment. Historiens et archéologues commencent donc à écrire une autre histoire d’Israëlites sans terre promise puisque ce peuple aurait toujours vécu sur les hautes terres de Judée. Ce peuple d’Israëlites avait alors probablement une sorte de Dieu national, qui cohabitait avec d’autres divinités. Ce n’est que progressivement, vers le milieu du premier millénaire avant notre ère que ce Dieu va devenir unique et universel.

  Jérusalem, en hébreux signifie « ville de la paix ». C’est une ville sacrée pour les juifs mais qui est aussi une ville sainte pour les chrétiens et les musulmans, un lieu unique au monde où se côtoient les 3 grandes religions monothéistes. Son quartier musulman bruyant contraste avec le calme de l’esplanade des mosquées. La place où Jésus aurait été crucifié et le quartier juif ou les rabins sont présents. Si Jérusalem est aussi sacrée pour les juifs, c’est parce qu’elle fut aussi la capitale du royaume de David qui s’est emparé de la ville vers l’an 1000 avant JC. Il aurait vraiment existé puisqu’on a retrouvé une stèle sur laquelle son nom est gravé. Avec le roi David, l’histoire commence à se recouper avec les textes bibliques. A cette époque, Jérusalem n’était pas si grande, seulement 3000 habitants, dans la vallée du Cédron. La capitale du royaume de David. Un premier temple y fut construit par Salomon, le fils de David. Ce temple a été entièrement détruit en 586 avant JC par les armées de Babylone (actuelle Irak). D’après les historiens, au 6ème siècle avant notre ère, le Moyen orient est dominé par Nabuchodonosor II, le roi de Babylone. Ce territoire englobe tous ceux de l’ancien empire assyrien. Ses troupes finissent même par envahir le royaume de Juda, elles en chassent le roi et déportent toute l’élite à Babylone. C’est la première diaspora, la première dispersion du peuple juif et c’est à ce moment là que le temple de Salomon a été détruit. Ils sont revenus en 540 avant notre ère, les perses mettent la main sur le royaume de Babylone et autorisent le peuple juif à rentrer chez eux. Un 2ème temple est alors construit qui sera agrandi par un roi allié des romains qui dominait tout le bassin méditerranéen à l’époque : le temple d’Erode.

kippour.jpg

Le rite de Kippour (le grand pardon) est le grand rite sacrificiel annuel des juifs qui se rendaient au temple pour expier les pêchers du peuple et qui permet de réconcilier le peuple avec Dieu. Les musulmans construisent ensuite l’esplanade des mosquées (sur le dôme du rocher où Mahomet serait monté au ciel) sur le 2ème temple au 7ème siècle. Le mur des lamentations est un vestige du second temple d’Erode sous lequel les pèlerins juifs venaient pleurer la destruction du temple. C’est l’endroit où se trouverait l’arche d’alliance qui abritait les tables de la loi. Selon la coutume, les juifs déposent entre les pierres des petits messages sur lesquels ils inscrivent des vœux ou des prières. Après la destructions du temple, chassés de Jérusalem, ils ont parfois du s’exiler très loin. Cet exil est la 2ème diaspora. Certains vont partir vers l’Europe du sud (Espagne) où ils seront chassés mais beaucoup plus tard, puis ensuite vers l’Afrique du nord. Les autres vont partir vers l’Europe de l’est et centrale. Ces 2 groupes vont adopter des coutumes différentes, et 2 grandes familles coexistent : les ashkénazes et les séfarades. Les juifs s’accrochent alors à leurs textes et leur culture qui se transmet de génération en génération. Persécuté durant des siècles, ils avaient aussi l’espoir de la venue d’un messie qui selon la tradition apporterait un air de paix sur la terre et ressusciterait d’abord les personnes enterrées sur le mont des oliviers à Jérusalem.

A la synagogue de Jérusalem, on doit se couvrir d’une Kipa, signe de respect envers Dieu. Lieu de culte et de rassemblement du peuple. Elle est sous la responsabilité d’un rabin. Ce n’est pas un intermédiaire entre celui qui prie et Dieu (à la différence du prêtre). Il ne mène pas d’office. Ce sont les fidèles qui lisent les textes. La bible hébraïque est en fait constituée de plusieurs livres (Tanakh : constituée de 3 parties : la torah, la loi, Neviim, les prophètes et Ketouvim, les autres récits) : les 5 premiers volumes forment la torah (création du monde depuis Adam et ève jusqu’à Moïse en passant par Abraham). Au milieu de ces récits, se trouvent tous les commandements que Dieu aurait transmis au peuple hébreu. Il en existe en fait 613 mitzvot, ou prescriptions religieuses qui régissent la vie quotidienne des croyants. A côté, il y a la voix orale transmise par Dieu à Moïse et qui auraient été mis à l’écrit (mischna) puis le talmud avec les commentaires des grands rabins pour appliquer la torah dans la vie quotidienne. Shabbat est un de ces commandements encore actuellement appliqué. Pas le droit de travailler le samedi, mais parmi les 39 travaux qui, à l’origine étaient ceux de l’édification du temple (exemple, pas le droit d’allumer l’électricité car il y a un rapport entre l’électricité et le feu, qu’il fallait allumer pour construire le temple). Il faut aussi manger selon les lois, Kacher, qui vient d’un verset de la torah qui dit qu’on ne mangera pas l’agneau dans le lait de sa mère, donc on ne mélange pas viande et lait au cours d’un même repas. La première grande cérémonie est la circoncision, 8 jours après la naissance, pour les garçons qui symbolise l’alliance avec Dieu et Abraham. Ensuite, la barmitzva, à 13 ans où l’enfant devient un homme.

Etre juif leur a permis de créer un état, l’état d’Israël ce qui a conduit de nombreuses persécutions et un génocide, la shoah, durant la 2nde guerre mondiale par les nazzis. Au 19ème siècle, des juifs ont cherché à s’installer sur la terre de leurs ancêtres, on appelle cet épisode le sunisme. Après la 2nde guerre mondiale, l’ONU décide de partager la palestine en 2 états : un pour les juifs et un pour les palestiniens. Mais très vite, les pays arabes voisins, attaquent Israël. Plusieurs guerres opposent ainsi les 2 camps. Les israëliens acquièrent de nouveaux territoires en palestine. Ce conflit est loin d’être réglé. Aujourd’hui pourtant, la majorité des juifs est laïque. Jésus est un prophète juif d’ailleurs…

 

 

 

 

 

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 09:49

 

IMGP2778.JPG

 

IMGP2780.JPG

 

"Imaginer, concevoir, construire, sculpter"

...


 


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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 09:37

 

Hier...

S5.jpg

 

Aujourd'hui...

 

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 21:55

 

mythe fondateur

 

 

 

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 12:50

 

Diapositive1-copie-4.jpg

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 07:27

Cette œuvre d’art monumentale : « L’homme du Vitruve », de Léonard de VINCI peut être  intégrée dans la dimension SYMBOLIQUE qu’elle recèle. En effet, c’est par ce SYMBOLE, que j’ai pu trouver un SENS « sacré », dans l’enseignement des sciences de la Vie et de la Terre :

 

« Faire entrer la VIE dans la TERRE et faire entrer la TERRE dans la VIE »


Sans titre

 

Pourquoi ?

Parce que cette image en tant qu’œuvre SYMBOLIQUE a ici pour motivation de véhiculer (par une communication non verbale) un MESSAGE afin d’attribuer un SENS à une "simple" FORME. Et cette image aurait pu être un support à n’importe quelle discipline (français, maths, HG, arts plastiques…), car dans tous les cas, elle aurait trouvé sa place même si le message qui s’en dégage ne délivrait pas le même sens. C’est là tout l’intérêt d’utiliser les symboles, qui n’expriment pas une SEULE VERITE mais qui dépend de l’interprétation qu’on en fait. Dans cet optique, ce symbole, délivre une FORME, un support (qui peut prendre la forme d’un cours) qui, pour être réellement intégré doit véhiculer un MESSAGE pour y mettre du SENS. C’est à chacun  de trouver le MESSAGE qui est véhiculé par le support de l’œuvre et qui lui donne donc son SENS. 

 

Donc,

Ici, l’homme du Vitruve montre un Etre Vivant, aux proportions idéales s’intégrant parfaitement dans son Monde (La Terre représentée par le cercle). Il symbolise ainsi l’EQUILIBRE parfait entre l’Homme et son Milieu à condition que l’un et l’autre ne fassent qu’un. Contrairement à l’enseignement scientifique de la biologie, à l'université, où les sciences de la Terre et les sciences de la Vie sont segmentées au travers de modules, de chapitres et de thèmes différents, par le symbole, les 2 sont LIES et s’intègrent l’un en l’autre pour en faire émerger l’EQUILIBRE indispensable à leur existence commune.

 

 

Le symbole de l’Homme du Vitruve est la FORME

 

 

 

Le MESSAGE qu’il véhicule est

« Faire entrer la Vie dans la Terre et la Terre dans la Vie »

 

 

 

Le SENS est

= TROUVER L’EQUILIBRE  en prenant soin de l’un et de l’autre


Quelques pistes pour comprendre la dimension symbolique

En 1492, Léonard de VINCI représente l’Homme comme un pentagramme dans son étude des proportions du corps humain selon Vitruve. 

 pentagramme1

 

pentagramme2

 

Le pentagramme est une figure symbolique à 5 branches, en forme d’étoile, dont l’interprétation la plus courante est la figuration de l’Homme et ses 5 extrémités : deux bras, deux jambes et une tête en haut. L’Homme peut alors être mis en ANALOGIE avec la Terre qui l’entoure par cette figure symbolique, représentée par le cercle à l’intérieur duquel il s’insère parfaitement. 

analogie

La notion d’analogiepeut s’intégrer en partant d’une OBSERVATION de ce qui est immédiatement accessible pour nous (à nos sens) et qui nous offrira comme base un plan de réflexion à partir de ses éléments afin de remonter au principe commun et donc à l’unité du tout (l’équilibre). Autrement dit, selon le principe d’analogie, ce qui est en Haut est en Bas, l’Homme peut alors être assimilé à un microcosme et la Terre à un macrocosme. On dira alors :

Le macrocosme est la Terre en tant qu'organisme analogue à l'homme, totalité une dont les parties sont en correspondance

Le microcosme est l'homme en tant que résumé, synthèse et splendeur du monde avec lequel on peut établir des correspondances terme à terme. 

analogie2

Observation: UN LIVRE

« Soigner l’Homme, Soigner la Terre » Livre d'Yves Paccalet

 

« Pour la première fois, un médecin et un philosophe naturaliste confrontent leurs expériences. L'homme a un corps et tombe malade. La Terre est un immense organisme, elle ne va pas bien. La planète et ses habitants vivent un destin commun. Ils peuvent être soignés en utilisant des méthodes qui s'apparentent. Le dia-gnostic n'est pas simple. Il faut prescrire les bons remèdes avec, pour principe : « D'abord, ne pas nuire… pour s’épa-nouir ! »
Dans ce fructueux dialogue, le médecin de l'homme et celui de la Terre s'interpellent, se répondent, soulignent les analogies, mais aussi les différences, entre leurs disciplines.
Ils tentent de montrer qu'on ne doit pas perdre espoir ; qu'on peut toujours peindre un sourire sur la face du malheur. »

 Voilà un bel exemple qui résonne avec le constat qui nous est dressé quotidiennement en regardant les informations : Tous les jours de nouvelles catastrophes naturelles se produisent sur TERRE et sont bien la manifestation qu’  « elle ne va pas bien ». Tous les jours des maladies emportent des HOMMES. L’analogie entre microcosme et macrocosme est bien encrée dans notre quotidien. 

ANALOGIE MACROCOSME/ MICROCOSME (approche SYMBOLIQUE)

 Sciences de la Vie ET de la Terre 

etoile

La Vie

cercle

La Terre

pentagramme1

pentagramme2

Sciences de la Vie DANS la Terre

 

vitruveastro

Le corps de l’homme du vitruve se superpose aussi à l’étoile à 6 branches, symbole du sceau de Salomon, le Sage. Le symbole colle parfaitement avec ce roi roi qui, par sa sagesse unit ce qui est en haut et ce qui est en bas. Ceci n’est pas sans rappeler la formule allégorique célèbre d’Hermès Trismégiste, sur la correspondance entre le macrocosme et le microcosme : « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Cet adage est à la base de toute la réflexion de l’astrologie humaniste qui peut être mis en lien dans la démarche.

 

zodiaque.png

 

 

Diapositive2.jpg    

 

Le symbole permet de faire des liens, ici, de relier, grâce à la loi d'analogie, L'homme "vivant"en tant que microcosme à la Terre en tant que macrocosme, mais aussi de mettre en lien la science (de la vie dans la terre) à l'art astrologique, toujours pour une même motivation, trouver l'équilibre parfait, celui qui ré-unit ce qui a été initialement séparé dans la dualité des opposés. L'ensemble de cet équilibre parfait peut être également symbolisé par une forme... celle d'un triangle équilatéral s'insérant parfaitement dans un cercle:

 

Diapositive2-copie-1

...Dans un sens ou "à l'envers"...

 

Diapositive1-copie-2

Ce symbole peut alors devenir le point d'encrage d'une philosophie entière, d'un art de vivre, d'un thérapie nouvelle...

mytho

 

... Vers une nouvelle voie de guérison...

 

Diapositive1-copie-3


 

 

 

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 13:57

    mitose

link

... L’histoire parle d’une grande présence qui a cherché à se reproduire, comme une cellule-mère qui produit une cellule-fille et l’aide un peu à grandir avant de disparaître… Enfin, du moins en apparence, puisqu’elle vit désormais dans la mémoire de sa cellule fille… La cellule-mère s’est dupliquée, elle est encodée dans sa cellule-fille… Et la cellule-fille, en grandissant, va évoluer, sur les bases de sa mère, et aller encore bien au-delà… La cellule-fille va réaliser les rêves de sa mère… avant de devenir elle-même une cellule-mère.
Très concrètement, c’est comme si la singularité originelle, le point primordial, s’était ouvert en notre immense univers étendu. En un sens, la présence première s’est déployée pour former tout ce qui est.

 

A chaque naissance correspond un point de départ que l’univers a cherché à concrétiser en un seul individu, que le monde a choisi d’incarner en lui. C’est ainsi que les planètes, archétypes de ce monde arriveront à se réaliser en une existence humaine, en fonction de l’énergie qui se dégage de leur position dans le ciel à ce moment là et de la manière dont l’individu va l’utiliser. Par cet instant précis, il est invité à trouver sa façon de mettre en place son pouvoir de créativité (en fonction de son zodiaque) et trouver le sens que peut prendre son incarnation, en ne perdant pas de vue qu’elle s’inclut dans un espace (linéaire)/ temps (intérieur) beaucoup plus vaste. La question posée individuellement :

 

Comment faire œuvre de cet espace/temps ?

 

Ainsi, il faut considérer que chaque être humain a une place et une « mission » particulières à accomplir dans son incarnation, et cette mission s’intègre au sein d'un processus cyclique beaucoup plus grand, à l’intérieur duquel le sujet est né, à un moment précis. Ce processus cyclique est déterminé en astrologie par le cycle soli-lunaire, basé sur la loi d’analogie selon laquelle 1an = 1 jour. JE suis donc né à un moment d’un cycle soli-lunaire déjà entamé (de 30 jours = 30 ans) et ce qui m’a poussé à venir au monde à cet instant là et pas un autre est à mettre en lien avec la phase du cycle à ma naissance. Ce processus cyclique vit à travers chaque incarnation et dans chaque naissance, il y a un projet qui va devenir indépendant (individu autonome). Mais l’univers a besoin de ce « chacun » pour manifester son existence entière. C’est ainsi que le projet d’évolution d’un individu se répand de génération en génération et que chaque chemin de vie rejoint le chemin de l’humanité toute entière.

            Nous portons donc dans notre biologie individuelle, des traces de ce processus cyclique qui nous dépasse, incluant l’histoire de nos ascendants familiaux mais aussi de nos ancêtres plus anciens et qui s’expriment à travers l’arbre généalogique d’une part, et les grandes figures de la tradition (les archétypes) d’autre part. Ces traces existent en nous sous forme de mémoires engrammées dans chacune de nos cellules et se cristallisent en faisant vibrer ces cellules selon un certain champs générateur d’une INFORMATION propre (un niveau d’Information subtile caractéristique de l’individu = son niveau de conscience individuel de départ, à la naissance). Ainsi, nous sommes avant tout (sous entendu avant d’être des êtres de chair et de sang, bref, de matière !), porteurs d’une Information, véhiculée par notre corps matériel (mais il nous manque aujourd’hui encore le chainon manquant qui permettrait de comprendre comment il est possible de passer de l’information immatérielle à la manifestation matérielle, c'est ce sur quoi travaille la théorie quantique qu'il faut intégrer comme centrale dans cette démarche). Notre incarnation au point de naissance est donc le moyen le plus adapté pour que l’Information soit véhiculée et se transmette pour accéder à un niveau plus évolué. Puisque notre projet d’évolution individuel rejoint le projet de l’humanité entière, on peut admettre que cette Information que nous recevons au moment où nous nous incarnons entre en résonance directe avec l’Information primordiale de tout l’Univers.

            Dans ce sens, l’astrologie est un outil symbolique utilisé comme un langage  qui participe au décodage de cette Information que nous portons individuellement depuis notre naissance et qui vise à la relier à l’Information universelle du cosmos qui intègre celle relayée par toute la tradition. On peut comprendre que dans notre vie, lorsque nous nous sentons victimes des événements du quotidien (même les plus graves comme les maladies), ils doivent être considérés pour chacun comme autant d’opportunités de les mettre en lien avec cette information inscrite dans nos cellules, nous invitant à nous diriger vers une voie plutôt qu’une autre. N’oublions pas que cette Information à notre naissance nous a été transmise par nos « géniteurs » qui portaient eux mêmes dans leurs 2 seules cellules sexuelles, la totalité de leur être informatif subtil. Le fruit de cette fusion s’incarne en nous sous forme d’un projet parental inconscient, que l’on peut nommer projet-sens. Même s’il « programme » en quelque sorte l’individu dans son incarnation, il sera vécu à la manière dont l’individu le décidera, sans fatalité, toujours avec son libre arbitre. Ainsi, se dessinera un vécu individuel pour le sujet qui sera confronté à de nombreux choix sur le chemin de son existence, le conduisant à vivre des événements, des faits et des réactions propres qui seront toujours à mettre en lien avec la manière dont l’Information cherchera à se réaliser à travers lui pour évoluer. Pour cela, l’individu se doit de toujours avoir à l’esprit qu’en construisant son incarnation, il véhicule une Information qui sera transmise à la génération suivante. De génération en génération, se construit une mémoire familiale autour d’une Information qui évolue de manière consciente ou non au fil des incarnations, en prenant corps en chacun des individus porteurs dans la généalogie. L’Information modèle le devenir de l’individu porteur mais l’individu porteur fait aussi évoluer l’information par ses choix, ses actes et ses réalisations. Lorsque l’on dit très justement que l’être humain est un être de relation, il doit surtout conscientiser la relation profonde qui existe entre lui et l'Information qu'il porte.

Enfin si l’Information s’incarne individuellement au moment de la naissance (étude du thème natal), elle ne peut être dissociée de la mémoire familiale véhiculée par la généalogie entière (étude psycho généalogique) et à un niveau plus vaste, elle ne peut s’envisager qu’au sein d’un parcours ancestral encore plus ancien dont il nous reste comme moyen d’expression les grandes figures de la tradition et de la culture (étude de la religion, de la mythologie), les archétypes. En branchant nos réactions manifestées au quotidien avec nos ressentis profonds et en les mettant en lien avec la dimension symbolique, la tradition, il sera possible de construire une nouvelle interprétation de la réalité (il faut considérer la théorie de la relativité d'Einstein dans la démarche) en l'intégrant à la construction d'une expression créative individuelle qui donne sens à une vie: Un mythe fondateur pour faire oeuvre de l'espace/temps dont nous disposons dans notre incarnation.

Voici l'illustration de la manière dont peut être traité un fait manifesté dans notre chair: une maladie. Selon cette démarche, la thérapie pour parvenir à la phase de guérison nécessite un travail holistique sur 3 niveaux en complément évidemment des traitements allopathiques: le niveau corporel (lié au manifesté: le symptôme), le niveau cérébral (lié au ressenti exprimé ou imprimé dans la pensée) et le niveau subtil informationnel (lié aux mémoires conflictuelles à rééquilibrer). Chaque niveau peut être décodé et mis en relation de manière à retrouver l'équilibre et au delà, à sortir grandi de l'épreuve en ayant appris sur le sens de son existence individuelle.

mytho-copie-1.jpg

 



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